Comme un éclat de rire (C'est tout moi ça
)
Vient consoler tristesse (C'est tout Yax ça
)
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre (C'est tout Algo ça
)
Qui fait naître la flamme
Jeunesse lève-toi
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui s'éteint (Giottttt
)
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient (on y croit...
)
Mais qui tient pas,
Contre la trace qui s'efface (sauf celle d'Algo
)
Au derrière de soi,
Jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
Je repars à la lutte (suis void, alors....
)
Contre les gravités qui nous mènent à la chute (le poids du Yax !
)
Pour faire du bruit encore (Evitons de faire boire Algo
)
A réveiller les morts, (Aelis, elle plus sourde que naine...
)
Pour redonner éclat
A l'émeraude en toi ;
Pour rendre au crépuscule (de la meute...
)
La beauté des aurores
Dis moi qu'on brûle encore
Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
Parce que tu n'en sais rien de la fougue et du feu
Que je vois dans tes yeux ?
Jeunesse lève-toi !
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écoeure (les fléauteurs ?
)
Perfusion dans la veine (Yax se vide
)
A l'ombre du faisceau
Mon vieux tu m'aura plus ! (Yax encore...
)
Ami dis quand viendra la crue (quand Algo va ouvrir la gueule
)
Contre courant toujours sont les contre-cultures, (pour cela que vous comprenez pas les elfes)
Au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures ? (encore Algo
)
Puisque c'en est sonné la mort du politique, (Elendril ? le retour
)
L'heure est aux rêves
Aux Utopiques !
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables, (désolé pour les non elfes:
)
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais un jour ou l'autre
Faudra tuer le père (c'est pas moi, suis trop vieux
)
Faire entendre ta voix (Algo ferme la !
)
Jeunesse lève-toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame (pas comme Yaxounnet, avec son canif à noix de coco
)
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre (trululu....
)
De ton triste sommeil, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice, (je confirme....ca vous rassure !)
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts (si, si Yax est à la taverne avec Tyty)
Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève-toi !
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse,
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme
Quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l'âme (On en a jamais eu...alors )
Jeunesse lève-toi !
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui nous perd,
Contre l'amour qu'on prend qu'on tient
Puis qu'on enterre
Contre la trace qui s'efface
Au derrière de soi ?
Jeunesse lève-toi !
Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l'âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu'ici il n'y a qu'au combat qu'on est libre
De ton triste coma, je t'en prie libère-toi !
Puisqu'ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N'entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
A la mémoire de ceux qui sont tombés pour toi
Jeunesse lève-toi